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 {;Hélèna S. Moyers.

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Hélèna S. Moyers

Hélèna S. Moyers


Féminin
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MessageSujet: {;Hélèna S. Moyers.   {;Hélèna S. Moyers. Icon_minitimeDim 8 Mar - 20:33

    {;Hélèna S. Moyers. 2n0qwe1Hélèna S. Moyers

    "Catch your breath quiet now don't say a word. You should run it but won't do any good. Prayers forsaken when you lose faith inside. It's not time to die. Your life is it a lie. When you get what you're looking for will your cravings subside? Or will you crawl into an empty, early tomb? Lay down and give up inside. She'd rather die. Death won't hold tigh as she does."



    I. Identité

    Nom(s), prénom(s), surnom(s):
    Moyers , Hélèna Severine. "Hel'", faisant référence aux trois premières lettres de son prénom, ainsi qu'à l'Enfer (en anglais), à cause de sa nature vampirique. Mais la plupart la surnomme "Vamp. Queen".

    Age & date de naissance:
    260 ans, 16 avril 1749.

    Métier:
    Barmaid.


    II. Caractère

    Cruelle , Sans pitié , Fausse timide , Comédienne hors pair , Adepte à la violence , Dévastatrice , Efficace , Têtue , Sadique , Fidèle , Intelligente , Indépendante , Apprend vite , Orgueilleuse , Calme , Sensible.


    III. Indiscrétions

    Race&dons:
    Vampire Traqueuse. Elle est télékinésique.

    Camp:
    Le sien.



    V. Hors-Jeu

    Age&Provenance:
    14 ans. Canada, Québec, Blainville.

    Célébrité utilisée:
    Kate Beckinsale.

    Comment avez vous connu le forum?
    J'étais inscrit sur ce site il y a longtemps. J'ai donc reçu un e-mail me disant que le forum était de retour.

    Code:
    Spoiler:


Dernière édition par Hélèna S. Moyers le Jeu 26 Mar - 19:46, édité 4 fois
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Hélèna S. Moyers

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MessageSujet: Re: {;Hélèna S. Moyers.   {;Hélèna S. Moyers. Icon_minitimeLun 9 Mar - 4:31

IV. Histoire


    Introduction; Partie 1.


"Je vois..." fit la vampire d'un air pensif, et elle marcha tranquillement à travers la pièce vers la fenêtre. Pour un long instant elle resta plantée là contre la faible lumière de Londres et les lumières passantes du trafic. Le garçon pouvait voir les meubles de la pièce plus clairement à présent, la table ronde en chêne, les chaises. Un miroir était accroché sur le mûr. Il déposa sa petite valise noire en cuire sur la table et attendit.
"Mais combien de cassettes avez-vous emmené?" demanda la vampire, se tournant de côté pour quel garçon puisse la voir de profil. "Assez pour l'histoire d'une vie?"
"Bien sûr, si c'est un bonne vie. Parfois, j'interview autant que trois ou quatre personne par nuit si je suis chanceux. Mais ça doit être une bonne histoire. C'est simplement juste, non?"
"Admirablement juste," répondit la vampire. "J'aimerais vous raconter l'histoire de ma vie."
"Très bien." fit le garçon. Et rapidement, il retira la petite enregistreuse de sa valise, vérifiant la cassette et les batteries. "Je suis plutôt impatient d'apprendre pourquoi vous croyez ceci, pourquoi vous..."
"Non." dit la vampire abruptement. "Nous ne pouvons pas commencer de cette manière. Est-ce que votre équipement est prêt?"
"Oui," répondit le garçon.
"Alors assied toi. Je vais aller allumer la lumière."
"Je croyais que les vampires n'aimaient pas la lumière," fit le garçon. "Si vous pensez que la noirceur s'ajoute à l'atmosphère..." Mais après le garçon s'arrêta. La vampire le fixait avec son dos contre la fenêtre. Le garçon ne pouvait rien distinguer de son visage à présent, et quelque chose à propos de sa figure immobile le distrayait. Il commença à dire quelque chose encore, mais elle ne disait rien. Et ensuite il poussa un soupire avec soulagement lorsque la vampire s'avança doucement vers la table et étira le bras pour attraper la corde pendante de la lumière.
Aussitôt la pièce fut inondée d'une vive lumière jaune. Et le garçon, levant les yeux vers la vampire, ne put réprimer un halètement. Ses doigts dansèrent par en arrière sur la table pour s'agripper sur le rebord. "Mon Dieu!" murmura-t-il, et ensuite il fixa, bouche bé, la vampire.
La vampire était blanche et lisse, comme si elle fut sculpté de marbre, et son visage était aussi inanimé qu'une statue, excepté de deux hypnotisant yeux bleus qui fixèrent le garçon comme des flammes dans un crâne. Mais ensuite la vampire sourit, et la lisse substance de sa figure bougea avec cette infinie flexibilité. "Vous voyez?" demanda-t-elle doucement.
Le garçon frissonna, levant sa main pour se cacher de la puissante lumière. Ses yeux se posèrent sur le bustier en cuir noir de la vampire, ses pantalons noirs, ses talons hauts de la même couleur, puis remontèrent à ses cheveux mi-longs noirs corbeau et à nouveau sur ses yeux bleu foncés.
"Maintenant, vous voulez toujours l'entrevue?" demanda la vampire.
La bouche du garçon était déjà ouverte avant qu'aucun son n'en provienne. Il hochait de la tête. Puis il dit, "Oui."
La vampire s'asseyait lentement en face de lui, de l'autre côté de la table, sur l'autre chaise, se penchant en avant et lui dit doucement, avec confiance, "N'ayez pas peur. Commencez tout simplement la cassette."
Et elle tendit sa main par dessus la table. Le garçon recula légèrement, de la sueur coulait le long de son visage. La vampire posa sa main sur l'épaule du garçon et dit, "Crois moi, je ne vous ferai pas de mal. Je veux cette opportunité. C'est plus important pour moi que tu puisses le réalisé. Je veux commencer." Et elle retira sa main et se redressa le dos en posant sa main sur ses cuisses, attendant.
Ce prit un moment pour que le jeune homme s'essuie le front et les lèvres avec son mouchoir, pour qu'il vérifie que le microphone soit bel et bien dans la machine, pour qu'il appuie sur le bouton, pour dire que la machine était en marche.
"Vous n'étiez pas toujours une vampire, n'est-ce pas?" commença-t-il.
"Non," répondit la vampire. "J'étais une jeune femme de vingt-cinq années lorsque je suis devenue une vampire, et l'année était dix-sept-cent-quarante-neuf."
Le jeune homme fut surprit par la précision de la date et il la répéta avant de demander, "Comment s'est-il survenu?"
"Il y a une simple réponse à ça. Je ne crois pas que je veux donner de simples réponses," dit la vampire. "Je crois que je veux raconter la vraie histoire..."
"Oui," fit le garçon rapidement. Il était en train de plier son mouchoir encore et encore et essuya à nouveau ses lèvres avec à présent.
"Il y a eut une tragédie..." débuta la vampire. "C'était mon plus jeune frère... Il est mort." Et ensuite elle s'arrêta, pour que le jeune homme s'éclaircisse la voix et essuie son visage une fois de plus avant de ranger son mouchoir presque impatiemment dans sa poche.
"Ce n'est pas douloureux, n'est-ce pas?" demanda-t-il timidement.
"Semble-t-il ainsi?" demanda la vampire. "Non." Elle secoua sa tête. "C'est tout simplement que je n'ai raconté cette histoire qu'à une autre personne. Et ce fut il y a bien longtemps. Non, ce n'est pas douloureux...
"Nous vivions en Louisiane à l'époque. Mon père travaillait dans une grande plantation sur le Mississippi, très près de Nouvelle-Orléans..."
"Ah, c'est ça l'accent..." fit le garçon doucement.
Pour un moment, la vampire fixa le jeune homme d'un air vide. "J'ai un accent?" Elle se mit à rire.
Et le garçon répondit rapidement. "Je l'ai remarqué dans le lorsque je vous ai demandé ce que vous faisiez dans la vie. Je n'aurais jamais deviné que c'était Français."
"C'est correcte." assura-t-elle. "C'est juste que j'ai tendance à l'oublier de temps en temps. Mais laisse moi continuer..."
"Je vous en prie..." dit le garçon.
"J'étais en train de parler à propos de la plantation à mon père. Notre vie là-bas était tous deux luxueuse et primitive. Et nous même trouvions qu'elle était très attirante. Vous voyez, nous vivions bien mieux là que nous aurions pu vivre en France. Peut-être le fin côté sauvage de la Louisiane l'a seulement fait sembler ainsi, mais semblant ainsi, ce l'était. Je me souviens toujours des meubles importés dans cette maison." La vampire sourit. "Et le clavecin; que c'était beau. Ma sœur en jouait auparavant. Pendant les après-midis d'été, elle allait s'installer aux clés avec son dos aux fenêtres françaises ouvertes. Je me rappelle encore de cette mince, rapide musique et la vison des marécages s'élever au delà d'elle, les cyprès pleins de mousse verte flottant contre le ciel. Et il y avait les bruits des marécages, un refrain de créature, le chants des oiseaux. Je crois que nous adorions ça. Cela rendait les meubles de bois de rose encore plus précieux, la musique encore plus délicate et désirable. Oui, nous adorions ça. Tous sauf mon frère. Je ne crois pas l'avoir vu se plaindre à propos de rien, mais je savais ce qu'il ressentait. Ma mère était morte à l'époque, et j'étais la femme la plus vieille de ma famille et je devais constamment le défendre de mon père et ma sœur. Ils voulaient l'emmener visiter avec eux, et à Nouvelle-Orléans pour des fêtes, mais il détestait ces choses. Je crois qu'il avait arrêté d'aller à ce genre de choses avant qu'il ait eut douze ans. Les prières étaient tout ce qui lui importait. Finalement, je lui fis construire un oratoire ôté de la maison, et il commença à y passé la plupart de chaque jours. C'était ironique, vraiment. Il était si différent de nous, si différent de tout le monde, et moi j'étais si régulière! Il n'y avait absolument rien d'extraordinaire à mon sujet." La vampire sourit.
"Parfois durant des après-midis j'allai le retrouver dans les jardins près de l'oratoire, assit sur un banc de pierre qui se retrouvait là, et je lui racontais mes problèmes, les difficultés que j'avais à gérer la famille, comment c'était difficile ma vie étant la plus vieille de la famille depuis que mère était morte... tous les problèmes qui composait la longueur et le souffle de ma vie. Et il m'écouterait, ne passant que quelques commentaires, toujours sympathique, comme ça lorsque je le quittais j'avais cette impression qu'il avait tout réglé pour moi. Je ne crois pas que je pouvais lui refuser rien, et je m'étais promis que peu importe comment ça me briserait le cœur de le perdre, je le laisserais devenir prêtre. Mais j'eus tord..." Elle s'arrêta.
Le jeune journaliste fixait un moment la vampire et ensuite il commença comme s'il se réveillait d'une profonde pensée, il pataugea, comme s'il ne put trouver les bons mots. "Ah... Vous n'êtes pas resté forte?" La vampire l'étudia comme si elle tentait de discerner ce que son expression voulu dire.
"Je voulais dire que j'eus tord à propos de lui refuser rien." Elle détourna le regard pour le poser sur les cadrages de la fenêtre. "Il se mit à avoir des visions."
"De vraies visions?" demanda le garçon, mais encore il eut de l'hésitation, comme s'il pensait à autre chose.
"Je ne croyais pas," répondit-elle. "Ceci arriva lorsqu'il eut quinze ans. Il était très charmant dans le temps. Il possédait la peau la plus lisse et les yeux bleus des plus grands. Il était robuste, pas mince comme la plupart des hommes de ma famille l'avait été... mais ces yeux... c'était comme lorsque je regardais dans ses yeux je me tenais sur le rebord du monde... sur une plage près de l'océan. Il n'y avait que le doux rugissement des vagues. Bien," dit-elle, ses yeux toujours fixés sur les cadrages de fenêtres. "Il avait commencé à voir des visions. Il n'a seulement laissé entendre d'abord, puis il s'est mit à cesser de prendre ses repas. Il vivait dans l'éloquence. À n'importe quelle heure de la journée ou de la nuit, je pouvais le retrouver à genoux devant l'autel. Et l'oratoire elle-même était négligée. Il avait cessé de remplacer les chandelles ou changer les tissus de l'autel ou même de ramasser les feuilles. Une nuit je devins très alarmée lorsque je me suis tenu dans l'axe rose une heure solide, d'ou il ne bougeait jamais de ses genoux et ne baissait même pas une fois ses bras, qu'il gardait étirés en la forme d'une croix. Les esclaves pensaient qu'il était fou." La vampire leva les sourcils en merveille. "J'étais convaincue qu'il n'était seulement... trop zélé. Que dans son amour pour Dieu, il était peut être allé trop loin. Puis il me raconta ses visions. Tous deux St. Dominic et la Vierge Marie étaient venu le voir à l'oratoire. Ils lui avaient dit qu'il devait vendre toute notre propriété dans la Louisiane, tout ce qui nous appartenait, et utiliser l'argent pour faire les travaux de Dieu en France. Mon frère devait être un grand chef religieux, pour remettre le pays à son ancienne ferveur, changer l'athéisme et la Révolution. Bien sûr, il n'avait aucune argent. Je devais vendre la plantation et notre maison en Novelle-Orléans, et donner l'argent à lui."
Une fois de plus la vampire s'arrêta. Et le jeune homme fixait toujours celle-ci, étonné. "Ah... excusez moi." murmura-t-il. "Qu'est-ce que vous dites? Avez-vous vendu la plantation?"
"Non," fit-elle, son visage calme comme il l'était depuis tantôt. "Je riais de lui. Et lui... il devint exaspéré. Il insista que ce commandement venait de la Vierge elle-même. Qui étais-je pour le négliger? Qui en effet?" demanda-t-elle doucement, comme si elle pensa encore à cela. "Qui en effet? Et le plus qu'il tentait de me convaincre, le plus que je riais de lui. C'était du non-sens, je lui ai dit, le produit d'un esprit immature et morbide. L'oratoire était une erreur, lui dis-je; Je l'aurais détruit aussitôt. Il irait à l'école à Nouvelle-Orléans et se fera ôté ces notions aliéné hors de sa tête. Je ne me rappelle pas de tout ce que j'ai dit. Mais je me rappel du sentiment. Derrière tout ce renvoi méprisant sur ma partie était une colère et une déception. J'étais amèrement déçu. Je ne le croyais pas du tout."
"Mais c'est comprenable," fit le garçon rapidement lorsque la vampire marqua une pause. "Je veux dire, est-ce que quelqu'un l'aurait cru?"
"Est-ce aussi comprenable?" La vampire regarda le jeune homme. "Je crois peut être qu'il s’agissait de l'égoïsme vicieux. Laisse-moi expliquer. J'aimais mon frère, comme je vous le disais, et à des temps je croyais qu'il était un saint vivant. Je l'encourageais dans ses prières et ses méditations, comme je disais, and j'étais prête à le perdre pour qu'il devienne prêtre. Et si quelqu'un m'avait parlé d'un saint dans Arles ou Lourdes qui ont eut des visons, je l'aurais cru. J'étais une Catholique; Je croyais les saints. Mais je n'ai pas, ne pouvais pas croire mon frère. Maintenant, pourquoi? Car il était mon frère. Aussi saint qu'il pu l'être, étrange très certainement; mais Francis d'Assisi, non. Pas mon frère. Aucun frère à moi ne pourrait être ainsi. Ça c'est l'égoïsme. Vous voyez?"
Le jeune journaliste réfléchit avant de répondre, puis il hocha de la tête et lui répondit que oui, il pensait qu'il voyait.
"Peut être voyait-il les visions," dit la vampire.
"Alors vous... vous ne prétendez pas le savoir... maintenant... si il les avaient ou non?"
"Non, mais je savais qu'il n'avait jamais hésité dans sa conviction une seconde. Ça je le sais et le savais la nuit où il quitta ma chambre fou et affligé. Il n'a jamais hésité un moment. Et dans quelques minutes, il était mort."


Dernière édition par Hélèna S. Moyers le Jeu 26 Mar - 0:32, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: {;Hélèna S. Moyers.   {;Hélèna S. Moyers. Icon_minitimeMer 11 Mar - 0:51

"Comment?" demanda le jeune homme.
"Il a tout simplement marché hors des portes françaises sur la galerie et s'est tenu au sommet des escaliers un moment. Et puis il est tombé. Il était déjà mort lorsque j'atteints le sol, son cou était cassé." La vampire secoua sa tête en consternation, mais son visage resta serein.
"L'avez-vous vu tomber?" demanda le garçon. "Avait-il perdu l'équilibre dans ses pas?"
"Non, mais deux servantes ont vu l'accident. Elles ont dit qu'il avait regardé le ciel comme s'il avait vu quelque chose dans les airs. Ensuite tout son corps avança par en avant comme s'il se faisait emporter par le vent. L'une d'elles m'a dit qu'il allait dire quelque chose lorsqu'il tomba. Je croyais qu'il allait dire quelque chose aussi, mais ce fut à ce moment que je me suis détourné de la fenêtre. Mon dos était tourné au moment ou j'entendis le bruit." Elle jeta un coup d'œil à l'enregistreuse. "Je ne pu me pardonner. Je me sentais responsable pour sa mort," lui dit-elle. "Et tous les autres pensaient que je l'étais aussi."
"Mais comment pouvaient-ils penser ainsi? Vous m'avez dites qu'ils l'ont vu tomber."
"Ce n'était pas une accusation directe. Ils savaient tout simplement que quelque chose s'était passé entre nous qui était déplaisant. Que nous nous étions disputés avant qu'il tombe. Les serviteurs avaient entendus, mon père nous avait entendus. Mon père ne cessaient pas de me demander ce qu'il s'était passé et pourquoi mon frère, qui était si discret, s'était mit à crier. Ensuite ma sœur s'est jointe, et bien sûr je refusai d'en parler. J'étais trop amèrement choquée et misérable que je n'avais aucune patience avec personne, seulement la vague détermination qu’ils n’apprendraient rien au sujet des 'visions'. Ma sœur alla se coucher plutôt qu'aller aux funérailles, et mon père révéla à tout le monde que quelque chose d'horrible était arrivé dans ma chambre que je refusai de révéler; même la police me questionna, sur le mot de mon propre père. Finalement le prêtre vint me voir et demanda de savoir ce qu'il s'était passé. Je ne l'ai dis à personne. Ce n'était qu'une discutions, je disais. Je n'étais pas sur la galerie lorsqu'il est tombé, je protestais, et ils me regardèrent tous comme si je l'avais tué. Et je sentais comme si je l'avais tué. Je me suis assis dans le salon à côté du cercueil pour deux jours pensant, je l'avais tué. Je fixai son visage jusqu'à ce que des pois se mirent à apparaître devant mes yeux et que je manque de m'évanouir. L'arrière de son crâne avait éclaté contre le pavé, et sa tête avait la mauvaise forme sur l'oreiller. Je me forçai à le fixer, à l'étudier simplement parce que je ne pouvais pas endurer la douleur et l'odeur de décomposition, et j'étais tenté de lui ouvrir les yeux. Tout ceci était des pensées folles, de folles impulsions. La pensée principale était celle-ci: J'avais ris de lui; Je ne l'avais pas cru; Je n'avais pas été gentille avec lui. Il était tombé par ma faute..."



    CHAPITRE DEUX ; PARTIE 2.


"Ce s'est vraiment passé, n'est-ce pas?" murmura le journaliste. "Vous me racontez quelque chose... de vrai."
"Oui," fit la vampire, le regardant sans avoir l'air surpris. "Je veux continuer à te raconter." Mais alors que ses yeux se posèrent à nouveau sur la fenêtre, elle démontra que peu d'intérêt pour le garçon.
"Oui je vous en prie, continuez." fit le garçon.
"Et bien, je voulais que mon père vende la plantation. Je ne voulais plus jamais voir la maison ni l'oratoire. Mais mon père refusait, me disait que je voulais tout simplement vendre tout ce qu'on avait à cause de mon égoïsme, des remords que j'éprouvais de la mort de mon frère. Il avait raison, après tout. Alors j'ai poursuivit ma vie, succombant tranquillement dans les ténèbres. Je buvais tout le temps, et passais le moins de temps possible chez moi. À un certain point je m'étais 'trouvé un emploie' dans un bar. J'étais une prostituée. Chaque nuit je me saoulais avec un, des fois deux, beaux hommes et nous allions tout el temps sur le port fait l'amour jusqu'à ce que nous soyons tous les trois saturés de plaisir et d'alcool. Mon père n'en savait rien, il savait seulement que je me saoulais. Je vivais comme une personne qui avait le désir de mourir, mais qui n'avait pas le courage pour le faire elle-même. Je désirais vraiment me faire tuer. Et puis je me suis fait attaquée. C’aurait pu être n'importe qui -et mon invitation était ouverte aux marins, voleurs, maniaques, n'importe qui. Mais ce fut un vampire. Il m'attrapa juste à quelques pas de ma porte une nuit et me laissa pour mort, enfin c'est ce que je pensai."
"Vous voulez dire... il vous a sucé le sang?" demanda le jeune homme.
"Oui," la vampire rigola. "Il m'a sucé le sang. C'est comme ça que ça se fait."
"Mais vous avez survécu," fit le garçon. "Vous avez dit qu'il vous a laissé pour morte."
"Et bien, il m'a drainé jusqu'au point de la mort, ce qui était pour lui suffisant. J'ai été porté à mon lit aussitôt que je fus trouvé, confuse et vraiment ignorante de ce qui m'étais arrivé. J'ai supposé que j'avais trop but et que j'avais eut une crise cardiaque. J'avais l'intension que j'allais mourir maintenant et refusais de manger ni boire ni parler au docteur. Ma sœur m'envoya un prêtre. J'avais eut la fièvre à ce temps et avait tout dit au prêtre, au sujet des visions de mon frère et ce que j'avais fait. Je me rappelle que je lui serrais le bras, lui faisant jurer encore et encore qu'il ne le dira à personne. 'Je sais que je ne l'ai pas tué,' ai-je finalement dit au prêtre. 'C'est juste que je suis incapable de vivre maintenant qu'il est mort. Pas après la manière dont le l'ai traité.' 'Ça c'est ridicule,' m'a-t-il répondu. 'Bien sûr vous pouvez vivre. Votre père à besoins de vous, sans oublier votre sœur. Et pour ce qui concerne ce frère, il était possédé du diable.' Je fus si surprise lorsque me dit cela que je ne pus protester. Le diable avait fait les visions, il continua d'expliquer. Le diable était effréné. Toute la France était sous l'influence du diable, et la Révolution était son plus grand triomphe. Rien n'aurait pu sauver mon frère sauf l'exorcisme, la prière. 'C'est le diable qui a poussé ton frère en bas de l'escalier, c'est si évident.' déclara-t-il. 'Tu ne parlais pas à ton frère dans cette pièce, tu parlais avec le diable.' Et bien, cette nouvelle m'enragea. Je croyais avant que je m'étais poussé à mes limites, mais je ne l'avais pas fait. Il continua à parler du diable, à propos du Voodoo qui régnait chez les esclaves et des cas de possessions dans d'autres parties du monde. Et je suis devenue sauvage. Je viré la pièce sans dessus dessous dans le procès de manquer de le tuer."
"Mais ta force... le vampire...?" demanda le garçon.
"J'étais hors de mon esprit," expliqua la vampire. "J'ai fais des choses que je n'aurais pu faire en parfaite santé. La scène est confuse, pâle, fantastique à présent. Mais je me rappel l'avoir fait défoncé les portes arrières de la cuisine, à travers la cour, et le plaqua contre le mûr de brique de la cuisine, là ou je lui ai martelé la tête au point de pratiquement le tuer. Lorsque je fus finalement soumis, ils m'ont saigné. Les imbéciles..."
"Que s'est-il passé avec vous? Vous dites qu'ils vont ont saigné pour vous guérir, et ce a dut pratiquement vous tuer." demanda le journaliste.
La vampire rigola calmement. "Oui. Ça m'a certainement presque tué. Mais le vampire est revenu cette nuit-là... Il faisait très tard, après que ma sœur s'aie endormi. Je m'en rappelle comme si c'était hier. Il est arrivé par la cour, ouvrant les portes françaises sans faire de bruit, un grand homme avec une masse de cheveux blonds et ses mouvements étaient incroyablement gracieux, un peu comme ceux d'un félin. Et doucement il drapa un châle sur les yeux de ma sœur. Elle dormi près du basin et du linge qu'elle avait utilisé pour m'éponger le front, et jamais elle avait bougé sous le châle jusqu'au matin. Mais à ce temps, je fus grandement changé."
"Qu'est-ce qu'était le changement?" demanda le journaliste.
La vampire soupire. Elle s'accota sur la chaise en fixant les mûrs. "Au début je croyais qu'il s'agissait d'un autre docteur, ou quelqu'un invoqué par la famille pour tenter de raisonner avec moi. Mais cette suspicion fut aussitôt enlevée. Il s'approcha près de mon lit et se pencha pour que son visage soit éclairé par la lampe, et je vis qu'il n'était pas un homme bien ordinaire. Ses yeux gris brûlaient d'une incandescence, et ses longues mains blanches n'étaient pas celles d'un être humain. Au moment que je l'ai vu, vu son extraordinaire aura et savait qu'il ne s'agissait pas d'un créature que j'avais déjà vu auparavant, je fus réduite à rien. Tout ma conception, mes remords et même mon envie de mourir, ne semblait plus important. Je m'étais complètement oublié! Le vampire se prénommait Viktor Draculius. Ironique, non? Enfin, voulez-vous finalement que je vous dise comment ça s'est passé? Comment je suis devenue une vampire?"
"Oui. répondit-il. "Comment avez-vous changé exactement?"
"Je ne peux pas vous dire exactement," fit-elle. "Je ne peux pas dire exactement. Mais je vais tenter de l'exprimer avec des mots qui vous seront valable et évident pour vous. Mais je ne peux pas vous dire exactement, ce serait comme expliquer quelle est l'expérience de faire l'amour alors que vous le l'avez j'ai fait.
Après s'être penché vers moi, je me sentis aussitôt absorbée dans son regard bleu intense. J'eusse l'impression que je me noyais dans un océan. Il glissa une main derrière ma nuque et approcha ses lèvres de mon oreille et me murmura: 'Tu es en train de mourir, Hélèna.' Et ensuite il recula et s'assit près de mes pieds sur mon lit. Il fixa la lampe un moment sans rien dire, un silence interminable nous séparant, puis il finit par dire: 'Tu ne sembles plus vouloir mourir, ma chère.' Son accent semblait hongrois. Je se redressai lentement sur mon lit en position assise pour me trouver à sa hauteur et lui dit: 'Je n'ai jamais réalisé à quel point c'était douloureux, la mort. Je vous en supplie, aidez moi, vous en êtes le seul à pouvoir m'aider.' C'était la première fois que j'étais si désespérée, mais je ne voulais pas mourir. Enfin, pas ainsi, c'était trop pénible. Viktor se leva de mon lit et vint me voir à nouveau en me tendant la main. 'Viens,' me fit-il. 'Allons au jardin.'
Je ne portais que ma robe de nuit blanche et j'avais les pieds nus. Il faisait froid dehors, plus froid que d'habitude. Enfin, peut être que je pensais ainsi car Viktor avait la peau incroyablement glacée. Nous marchâmes dans les jardins dans la cour extérieure, mes bras enlacés autour de mon corps pour me garder au chaud. Nous avons discuté. Lui me parlait de sa vie, de ce qu'il faisait dans la vie, d'ou il venait et de sa famille, alors que moi, je parlai de ma famille aussi, de la plantation à mon père et de mon frère. Finalement, il s'arrêta et me tira doucement vers lui en penchant ma tête par en arrière pour dénuder mon cou. Il tira sur la manche de ma robe de nuit pour dénuder mon épaule et y posa ses lèvres glacés dessus. 'As-tu fais ton choix? Veux-tu vraiment ceci?' demanda-t-il en approchant ses lèvres de ma gorge. Mon cœur se mit à se battre à tout rompre, et mon artère se mit à pomper dans ma gorge. J'avalai ma salive et murmura: 'Oui, je le veux...' Une étrange sourire lui vint aux lèvres et il monta sa tête au dessus de la mienne et posa ses lèvres froides sur les miennes un court instant. 'Tout ceci sera terminé rapidement.' Il rabaissa encore une fois sur mon cou et je penchai la tête vers l'arrière une fois de plus en fermant les yeux. Viktor passa se lèves sur ma peau un instant, parcourant chaque parcelle de ma peau dénudée, puis se positionna sur ma jugulaire et enfonça ses canines dans ma gorge. Aussitôt, je pouvais sentir une douleur atroce au cou et ce liquide de couleur vermeille qui circulait mon corps se mit à couler dans la bouche de mon agresseur..."
Les yeux du garçon devinrent énormes et ronds. Lentement, il se mit à reculer dans le fauteuil, son visage tendu.
"Avez-vous déjà perdu une grande quantité de sang? Connaissez-vous la sensation?" demanda la vampire.
La bouche du garçon prit la forme d'un non, mais aucun son n'en sortit avant un moment. "Non," finit-il par bégayer.
"Au début, c'est l'adrénaline qui prend le dessus, alors je ne sentais pas grand chose jusqu'à ce que celle-ci se dissipe et que je fus réduite à l'impuissance. Mais dans le moment ou l'adrénaline était toujours présente, je m'étais agrippé le plus fort possible sur Viktor, tentant d'accrocher mes mains sur son manteau, mais celles-ci commençaient déjà à perdre leur force. Ensuite, je me sentis de plus en plus faible et mes paupières se firent de plus en plus lourdes. Je lâchai mon emprise sur Viktor et tout mon corps retomba vers l'arrière. Mes jambes pouvaient à peine de tenir debout, et Viktor me tenait toujours. Finalement, il me lâcha et je tombai au sol comme une vieille poupée. Je regardai la lune alors que ma vue s'embrouillait tranquillement. Viktor se pencha sur moi et me murmura: 'Es-tu certaine que tu le veux maintenant?' Je tentai de rester réveillé, je lutais contre la tentation de me laisser succomber dans la mort. 'O...ui...' arrivai-je finalement à répondre. Une fois de plus il sourit, puis il se mordit le poignet et fit couler de son sang sur ma bouche. Je me sentis soudainement poussée à le boire, puis à me relever lentement pour aller poser mes lèvres sur la plaie, comme si je ne contrôlais plus mon corps. Une fois ma bouche sur la plaie, je commençai à boire de son sang. Et ô que c'était bon. Si bon que j'eusse de la difficulté à m'en séparé. Pendant que je le drainais de son sang, Viktor souffrais, mais pas beaucoup. Ce fut lui qui dut me retirer de lui, et aussitôt fait, je sentis tout mon corps se crisper tout d'un coup. Je me tortillais au sol, le sang me tachant la bouche et ma robe blanche. Je sentais mon corps mourir peu à peu, puis soudain, je me sentis à nouveau de plus en plus faible et finalement, je suis morte. Mon cœur cessa de battre, mais je me réveillai peu de temps après. Le sang qui m'avait taché la bouche et partit et ma peau devint aussi lisse que du marbre; Sans imperfection. Enfin presque. Il n'y avait que ses deux marques grises sur ma gorge. Et mes cheveux bruns foncés devint longs et frisés et incroyablement soyeux. Mes yeux, qui étaient avant gris, sont devenus bleus avec une teinte violette. Je ne me reconnaissais plus du tout, je croyais que mon âme s'était réincarné dans le corps d'une autre femme, mais j'avais toujours le même corps."


Dernière édition par Hélèna S. Moyers le Jeu 26 Mar - 0:29, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: {;Hélèna S. Moyers.   {;Hélèna S. Moyers. Icon_minitimeJeu 26 Mar - 0:22

    Conclusion ; Partie 3.


La vampire désigna du menton l'enregistreuse. Le journaliste la fixa puis se dépêcha à insérer une nouvelle cassette dans la machine avant de continuer.
"Qu'en est rendu de Viktor aujourd'hui?" demanda-t-il, s'épongeant le visage avec son mouchoir.
"Je n'en suis pas encore rendu là. Après ma transformation, j'ai quitté ma demeure, car je ne pouvais pas risquer mettre ma famille en danger, même si Viktor insistait que je leur prenne la vie et que je mette terme à leur souffrance. Il m'a aussi dit que j'allais leur infliger encore plus de souffrance après mon départ, et j'ai réalisé cela lorsque nous fîmes rendus à Londres.
Rendu en Angleterre, nous nous sommes acheté un petit manoir dans le cœur de la vie et Viktor débuta mon apprentissage. Il m'a apprit comment chasser, comment séduire mes victimes et comment survivre. Au début, j'eus de la difficulté à prendre les vies de mes victimes et je buvais plus le sang des rats dans notre demeure qu'autre chose, mais au bout de quelques mois, je m'étais déjà habitué à boire le sang des humains. Vous devez comprendre que, boire le sang des animaux c'est uniquement pour survivre lorsqu'on se retrouve pris sur un navire pour plusieurs mois et que ça ne nous satisfera jamais complètement, alors que le sang des humains fait parti de notre régime alimentaire, que l'on le veuille ou non. Même les vampires abstenant doivent éventuellement tuer un humain de temps en temps. C'est dans notre nature vampirique; Nous sommes des prédateurs pour l'homme.
J'apprenais vite et mon apprentissage m'a dit de n'épargner personne. Et je n'ai jamais épargné personne. J'appris non seulement comment se déroulait la vie d'un vampire, mais aussi comment se déroulait la vie antérieure de Viktor. Il venait de Roumanie et il habitait un immense château dans les montagnes avec sa famille. Il allait souvent chasser avec son frère jusqu'à ce qu'il meure. Tout comme moi, il s'était sentit coupable pour sa mort et voulais mourir, et ce fut un vampire qui accepta son invitation. Malheureusement, lui n'a pas eut une éducation comme la mienne. Son créateur, qu'il refusa de me dévoiler son identité, s'était suicidé quelques jours après que Viktor fut né à la noirceur. Il s'était aveuglement lancé dans la lumière du jour et il s'était brûlé. Viktor dut apprendre par lui-même comment survivre et c'est ainsi qu'il a vécu durant deux cents ans, jusqu'à ce qu'il me rencontre. Sache que Viktor n'était pas aussi doucereux et sensible qu'il l'avait été le jour ou il m'avait transformé, et le baiser qu'il m'avait donné n'était qu'un jeu pour lui et je le savais, mais j'étais tombé stupidement amoureuse de lui et il en prit avantage, car je ne pouvais lui refuser rien. On faisait souvent l'amour le soir, après être partis chasser. C'était de l'amour froide, comme je le dis souvent. Il avait été un très bon amant, ça je peux vous l'assurer. Malheureusement, notre relation prit terme lorsqu'il fut tué par un chasseur, mais je ne fus pas réellement triste, car à cette époque je ne l'aimais plus de la même façon dont je l'avais aimé auparavant. Après sa mort, j'ai brûlé le manoir pour qu'on ne me pourchasse pas, pour donner l'impression que je m'étais suicidé en brûlant ma demeure avec moi. Mais j'avais survis, car regardez ou nous sommes à présent..."

La vampire s'approcha du garçon et en se penchant par dessus la table, elle arrêta l'enregistreuse. Le garçon se recula dans son siège. "M-mais que faites-vous?" balbutia-t-il d'un air effrayé.
"Je vous ai dit que je n'avais jamais épargné personne..." répondit la vampire avec un sourire plein de sadisme.
"M-mais...!"
"Chuuut. Tout ceci sera terminé rapidement..."
Elle se rua sur le garçon à une vitesse si incroyable que le garçon eut à peine le temps de bouger. Elle l'avait déjà plaqué contre le canapé et enfoncé ses crocs dans sa chair. Le journaliste gémit de douleur et se débattit contre son agresseur, mais ce fut en vain. Au bout d'une douzaine de minutes, le jeune homme avait été totalement drainé de son sang et la vampire s'était échappé de l'immeuble...
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MessageSujet: Re: {;Hélèna S. Moyers.   {;Hélèna S. Moyers. Icon_minitimeJeu 26 Mar - 0:35

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MessageSujet: Re: {;Hélèna S. Moyers.   {;Hélèna S. Moyers. Icon_minitime

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